lonely night (nova)

t'avais congé ce soir-là, iago. t'étais installé sur ton canapé. tu venais de te tirer ton rail de coke et tu gardais les yeux rivés sur ta télévision pendant quelques instants. tu ne savais même pas sur quel programme tu t'étais arrêté, ça t'importait peu. tu prenais juste le temps de laisser la drogue faire son effet. tu fermais doucement les yeux et tu posais ta tête contre le dossier de ton canapé. encore une journée de merde. avec un travail de merde. mais au moins tu pouvais t'en sortir, la moindre. t'arrivais en tout cas à payer encore ta coke, c'était ça le plus important, non ? tu redressais finalement ta tête pour attraper ton portable. hors de questions que tu ne fasses absolument rien de la soirée. tu décidais donc d'écrire à nova. tu voulais qu'elle vienne chez toi ce soir. tu voulais passer un moment en sa compagnie. c'était non seulement un moyen pour toi d'éviter la solitude de cette soirée, mais également un moyen de t'assurer qu'elle ne se trouvait avec personne d'autres que toi en ce moment. et surtout pas avec soul et cosme. tu avais développé une forme de jalousie maladive à ce propos. le besoin d'être le seul à posséder nova et plus le temps passait plus ça devenait compliquer pour toi de gérer ça. alors tu insistais, pour la voir. tu lui proposais sans doute trop souvent. ce soir c'était un simple message que tu lui envoyais, sans même poser de questions, viens chez moi, je t'attends. c'était la seule chose que tu avais tapée sur ton portable. inutile d'en dire plus de toute façon. tu ne lui laissais même pas la possibilité de refuser. tu voulais qu'elle vienne, un point c'est tout. en attendant qu'elle arrive, tu en profitais pour te glisser sous la douche. il fallait que tu sois le plus présentable possible dès son arrivée.

Les relations qui ne menaient nulle part, celles qui ne trouvaient leur essence que dans l’incompréhension. Ce besoin presque viral de plonger dans les tourments pour renaître tel un Phoenix qui renaissait de ces cendres. Je me contemplais dans des relations qui ne cherchaient pas à voir de lendemains, qui se tuaient une fois les premiers rayons de soleils qui s’élevaient dans les cieux. Je ne cherchais pas ce besoin constant de pouvoir compter sur quelqu’un je ne croyais qu’en moi-même. Comme un électron libre qu’on lâchait en pleine nature sans savoir les retombées que je pouvais offrir. Je n’offrais d’espoir que lorsque je pouvais y voir une opportunité. Pourtant. Comme ça, l’air de rien il s’imposait, il prenait une place que je ne voulais pas qu’il prenne. Obsession viscérale qui ne trouvait de répits dans ces nuits à s’épuiser, à épuiser nos vies dans la passions, la chaleur ardente. Il ne provoquait plus les rencontres il les imposer à son bon vouloir. Il ne savait pas de quoi il s’engageait, il pensait pouvoir jouir à lui seul de tout ce que j’offrais aux bras d’inconnus. Malsain, tellement malsain tout ce que finalement je cherchais, le voir se tordre de colère à chaque fois que j’évoquais ces deux autres colocataire. Le tenir puis partir. Une mélodie qui m’amusait mais qui ne l’amusait pas autant que moi, lui qui ne cherchait qu’à asseoir sa possessivité. Un simple message pourtant et je me retrouvais chez lui quelques minutes plus tôt. Un simple jean et un haut trop court pour cacher les fragments de mon épiderme. Seulement deux coups, la porte s’ouvrait instantanément face au brun.
« Je devais passer ma nuit avec cosme et soul » mentais-je tout en entrant dans la pièce comme si elle m’appartenait. Laissant mes yeux parcourir la pièce jusqu’à la table basse où sa coke trônait en pièce maîtresse. « J’espère que tu peux m’offrir mieux que ça, même toute cette coke ne pourra pas me combler » lui soufflais-je tout en désignant de mon index la coupable. Prêt à jouer Iago ? Prénom des ténèbres, prénom des enfers, le roi de mon enfer.

tu te montrais clairement exigeant avec nova. te permettant de lui ordonner parfois de venir. sachant pourtant que tu n'avais pas le moindre pouvoir sur elle, tu tentais de convaincre que si. que dès qu'elle verrait un message de ta part, elle ferait tout son possible pour y répondre positivement. une obsession malsaine qui grandissait de plus en plus en toi. t'étais bien incapable de la gérer comme tu le voudrais, pourtant. nova était libre de faire ce qu'elle voulait. libre de voir qui elle voulait. mais à tes yeux, elle passait bien trop de temps en compagnie de tes deux meilleurs potes, cosme et soul. c'était ce que tu supportais le moins. incapable de vraiment partager avec eux. malgré l'expérience d'une nuit. un plan à trois, un écart de ta part. toi qui ne jure d'ordinaire que par les femmes. t'avais accepté, sous l'alcool et la coke, de partager ton lit avec eux. une histoire d'un soir qui ne se reproduira plus pour toi, mais qui devait pourtant prouver que tu te sentais capable de partager avec eux.. ça oui, mais pas les femmes. les femmes t'appartiennent. nova, par-dessus tout. une règle que tu avais édictée toi-même, sans demander l'avis de personne. et surtout pas celui de nova. alors tu te sentais plutôt satisfait quand tu l'entendais frapper à ta porte. signe qu'elle avait répondu par la positive à ton invitation. je devais passer ma nuit avec cosme et soul. la première phrase qu'elle te balance à son entrée. signe qu'elle était décidée à jouer avec toi. à te faire sortir de tes gonds sans doute. tu secouais la tête avec un petit rire. persuadé qu'une soirée avec toi s'annonçait bien plus intéressante pour elle. j'espère que tu peux m'offrir mieux que ça, même toute cette coke ne pourra pas me combler. tu la laisses s'installer dans ton salon, où la coke traîne sur la table, comme toujours. tu sais bien que je t'offrirais toujours mieux que les autres, nova.. la coke reste un simple amuse bouche. tu lances avec un sourire en coin en t'installant proche d'elle. tiens. tu lui tends son petit tube en papier pour prendre son rail. préparé soigneusement sur la table, il n'attendait qu'elle. tout comme toi.

Il était comme cette canine accrochée à mon cou. Il me dévorait comme la morsure d’un loup qui ravage tout sur ma peau. Ces mains sales étaient les plus salvatrices sur mon corps de porcelaine, il me lacéré de ces griffes invisibles. Pourtant je caressais ces cicatrices invisibles car j’avais ce besoin viscérale de me faire du mal, de le laisser m’abîmer pour finalement être celle qui finira par le faire perdre toute raison. Ressortir en lui tout cet animal qu’il voulait tant cacher aux autres, son besoin d’être partout de bouffer tout ceux qui s’approchaient trop près de moi pour être la sienne, sa proie, son gibier, son talon d’Achille. Pendant que je me bois je m’approchais trop près du soleil presque à deux doigts de brûler ma vie par les deux bouts. J’entrais dans le temple de l’enfer, je fonçais contre un mur mais je n’avais pas peur des blessures, je voulais qui me possède. Qui joue cette partie fine sans jamais vraiment se l’avouer, qu’il y avait ce drôle d’idéal qui s’installer on avait cassé la tirelire du mal pour se le jeter en pleine figure et pourtant je trônais ici. Dans son salon j’avançais la légèreté jusqu’à la pointe de mes pieds pour retrouver la table des réjouissance. « Prouve-le-moi que tu m’offriras mieux que tous les autres » le défiais-je tout en le laissant s’installer à côté de moi à la fois si proche et si lointain comme si nous toucher provoquerait la fin de l’humanité tant nous exploserions. Le tube en papier je première la ligne tout en basculant ma tête vers l’arrière, tournant ma tête vers lui en lui tendant le tube en papier. De la poudre blanche, bien pire que des balles en pleine poitrine. « Pourquoi j’ai le droit à un traitement de faveur ? pourtant t’es pas le genre à appeler Iago. » le poussais-je pour le mettre sous pression peu à peu avant de m’approcher un peu plus de lui sans le toucher encore. « je vais croire que tu ne peux plus te passer de moi » lui glissais-je tout en prenant de mon doigt fin un peu de poudre blanche pour la glisser entre mes seins tout en ne le quittant pas des yeux.

t'étais bien incapable d'expliquer la relation que tu entretiens avec nova. incapable d'expliquer comment tu pouvais être autant attaché à elle, d'une certaine manière. incapable de la partager avec les autres, tu la voulais pour toi uniquement. et pourtant tu n'as jamais voulu d'une femme en particulier. homme libre, t'as toujours voulu enchaîner les histoires d'un soir. t'as toujours aimé les femmes en tout genre, pouvoir sentir leur peau sur la tienne, pouvoir te délecter de leurs corps l'espace d'une soirée. et puis, tout s'arrêtait-là. mais nova semblait avoir un pouvoir particulier sur toi, sans que tu ne parviennes à définir pourquoi. tu supposais que la relation qu'elle entretient avec soul et cosme n'aidait pas. ça renforçait ce sentiment de jalousie qui t'habite. tu n'aimais pas partager. et encore moins avec tes amis. alors oui, tout cela avait transformé tes sentiments à son égard en une sorte d'obsession. ça ne s'arrêtait plus à de la simple amitié, non. c'était bien plus que ça, sans pour autant que ça puisse s'assimiler à de l'amour. t'es bien incapable de ça de toute façon, non ? prouve-le-moi que tu m’offriras mieux que tous les autres. elle te mettait au défi et tu affichais un sourire en coin. tu le lui prouveras, sans le moindre doute. tu lui montreras qu'avec toi, elle sera toujours bien. que tu peux lui offrir tout ce qu'elle désire. ou en tout cas, que tu feras de ton mieux pour le faire. mais dans quel but ? c'était bien toute la question. qu'est-ce que ça t'apporterait à toi, ensuite ? tu la regardes prendre ce rail de coke et tu attrapes le petit tube en papier. pourquoi j’ai le droit à un traitement de faveur ? pourtant t’es pas le genre à appeler iago. je vais croire que tu ne peux plus te passer de moi. tu laisses échapper un léger rire, ton regard planté sur la ligne qui t'attendait. tu la vois qui en prend un peu dans ses mains pour venir la placer entre ses seins. tu tournes ton regard vers le sien. je ne peux plus me passer de ton corps en tout cas. tu affirmes et tu n'attends pas plus longtemps. à quoi bon de toute façon ? t'avais évité plus ou moins de répondre à sa question et tu plongeais le tube entre ses seins pour prendre ton rail. quoi de plus plaisant, hein ?

On accuse à coup de pourquoi nos vies tumultueuses depuis que nous sommes enfants. Nous cherchions inlassablement toujours à trouver des réponses dans les questions les plus ordinaires. Pourquoi le ciel est bleu ? Pourquoi les nuages sont si hauts ? Pourquoi le temps passe si vite ? Et on pense qu’une fois qu’on passe cette phase de pourquoi après l’enfance que les questionnements s’arrêtent. Qu’on devient finalement adulte et qu’on a plus à se poser de questions que tout n’est que réponse car nous sommes censées être capable de comprendre grâce à notre vécu ou autre conneries du genre.
Mais..
Parfois il y a des questions qui ne méritaient pas de réponses, tout simplement car nous savions que la vérité serait bien plus blessante que nos propres questionnements. Que nous finirons hantés par cette réponse, par cette vérité absolue.
Il était toxique, j’étais son héroïne,
Il était fou, j’étais son flou,
Il rêvait de liberté, je rêvais d’être emprisonnée.
Certaines filles n’ont qu’un désir celui d’être aimée, attention je ne vous parle pas de cet amour qu’on pense connaître. Non celui avec un grand A, celui qui n’est pas interchangeable. On dit de ces couples qui se tirent l’un et l’autre vers le haut car même les sommets ne sont que dérisoires face à leur amour.
Je ne suis pas toutes ces filles.
Je ne ressentais pas le besoin d’un amour éternel non pas que j’étais une cause désespérée ou à court de sentiments. J’aimais vivre. Ne pas être dépendante sauf de moi-même, n’être qu’accro à mes propres démons mais parfois ce démon avait un nom et le mien s’appelait Iago. Et sans mettre de barrières de sécurité je me laissais alors aller sachant que l’antre du démon est bien plus accueillant que toutes les portes du paradis.
« ça ne me suffit pas comme réponse » lui répondais-je tout en plantant mes yeux océans dans les siens. Il plongeait contre mon corps, je plongeais mon âme dans le néant. Un frisson qui me parcourait de l’échine jusqu’à mon cerveau, mon corps qui se cambrait à son souffle si rapide. Ces yeux à lui qui tombaient en arrière comme sa tête pour savourer sa dose. Ma main qui cherche à tâtons son bras, son corps mes lèvres qui décortiques une simple phrase. « tu n’as pas le droit iago d’être jaloux » avouais-je tout en me redressant pour attraper une bière qui traînait sur sa table.

t'avais pas envie de répondre à la question de nova. t'avais pas envie de mettre la moindre explication sur tout ça. c'était bien plus facile comme ça, non ? de ne rien dire du tout. de laisser les choses se faire, simplement. sans se poser plus de questions. mais nova ne voyait pas les choses de cet oeil-là, visiblement. elle cherchait des réponses et toi tu esquivais la réponse en te plongeant rapidement sur son corps pour prendre ton rail de coke. de quoi te redonner la pêche. tu renifles, tu laisses ta tête partir en arrière et t'as ce soupir d'extase qui s'échappe de tes lèvres. comme à chaque fois que tu prenais une prise. tu pensais t'en sortir comme ça, toi. tu pensais vraiment que ça suffirait alors qu'elle ajoutait déjà, ça ne me suffit pas comme réponse. fallait s'y attendre. nova n'était pas du genre à se contenter de peu de toute façon. elle voulait savoir, elle voulait comprendre. alors que toi tu ne voulais pas expliquer. parce que tu ne savais même pas comment expliquer tout ça. tu n'en voyais même pas l'intérêt. en quoi ça devrait changer quelque chose entre vous deux, de toute façon ? c'est pas comme si tu voulais que quelque chose change. tout ce que tu voudrais, c'est qu'elle ne voie plus soul et cosme de la même façon qu'elle te voit toi. parce que t'aimes pas partager, voilà tout. tu n'as pas le droit iago d'être jaloux. elle affirme finalement et toi tu ne peux t'empêcher de rire. pas le droit ? nova, je crois pas que tu puisses m'interdire ça. je peux pas le contrôler moi-même de toute façon. tu lances avant de poursuivre, qu'est-ce que ça te change de toute façon à toi ? j'ai pas le droit de t'apprécier un peu plus que la moyenne ? c'est juste ça, finalement. tu l'apprécies peut-être un peu plus que les autres. parce qu'elle est particulière. mais faut pas non plus qu'elle s'imagine que tu voudrais l'avoir pour toi tout seul pour la vie. t'es pas comme ça, iago. tu ne le seras jamais.

On dit souvent que la jeunesse était une route où tous les chemins s’entremêlent vers une seule et même direction celle de nous mener vers notre prochaine étape de nous-même. Nous pouvions choisir de vivre une vie sans fioritures avec seulement l’envie d’être présent ou bien nous choisissions une voie plus escarpée. Le monde était divisé en deux ceux qui ne vivaient que pour vivre et ceux qui comme un funambule flirtaient avec l’équilibre fragile de la vie et de la mort. On ne se rend pas finalement bien compte que nous jouons à un jeu de cache à cache avec la mort, que nos décisions aussi simples soient-elles nous menaient tout droit au dernier tournant de notre vie.
Fuir, toujours fuir. C’est comme un refrain entêtant qui se nichait au creux de notre crâne jusqu’à devenir notre chanson de vie. Fuir sa vie, fuir les problèmes, fuir les relations, fuir tout simplement. Peut-être que la dernière étape était de fuir notre vie.
Iago n’était pas le gendre comme il faut qu’on présente aux parents comme il faut. Il n’était ni cruel, ni bon il était simplement cette flambée qu’il activait à l’intérieur de votre corps pour vous faire exploser. Pour qu’il ne reste plus que des cendres de votre existence. Il avait une ribambelle de filles fragiles qui rodaient devant sa porte pour se faire consumer encore par l’unique Iago Torres, elles s’accrochaient à lui comme leur bouée de sauvetage en pleine mer déchainée. Pourtant il ne promettait jamais rien, il n’était qu’une bulle de destruction.
Il était mon démon, peut-être que j’étais le sien. Je représentais une image de lui-même trop révélatrice pour ne pas qu’il creuse encore et encore plus en profondeur. Il est toujours difficile de se croiser dans le miroir de l’autre encore plus quand on connait exactement les réactions. Je riais face à son sourire qui s’étendait en même temps que ses yeux se plissaient. « Je ne te l’interdis pas Iago, je te faisais une confidence. » lui avouais-je tout en l’écoutant poursuivre sa justification.
« ça ne change rien pour moi mais comme ça on est au même niveau d’informations » lui soufflais-je tout en l’attirant à moi en attrapant son bras pour qu’il se penche à nouveau sur mon corps, son visage presque à ma portée, la tension à son apogée et ses lèvres qui me criaient que de les dévorer encore et encore sans lendemain. « Embrasse moi » glissais-je simplement entre mes lèvres tout en rapprochant mon corps contre le sien, laissant mes doigts parcourir les contours de son tee-shirt. « Je préfère le iago hors de contrôle que celui qui répond à mes questions » . Elle était là, la vraie raison de notre affection l’un envers l’autre, il n’y avait pas de promesses, pas de lendemain mais il n’y avait aucune limite.

t'étais pas fait pour les grands discours. t'étais pas le genre d'hommes qui savait trouver les mots pour faire chavirer le coeur d'une femme. raison pour laquelle tu ne t'évertuais jamais jusque-là. tu te contentais de femmes de passage, parce que tu restais persuadé que t'étais totalement incapable d'aimer et d'être aimé. ça demandait quand même beaucoup de qualités que tu étais loin de posséder. pas romantique pour un sous, tu étais aussi incapable d'exprimer tes sentiments. incapable de te les avouer à toi-même pour commencer, alors forcément ça compliquait les choses. tu remarquais bien l'obsession que tu semblais éprouver en présence de nova. tu remarquais bien l'effet qu'elle pouvait avoir sur toi qui était clairement différent des autres filles. t'étais jaloux, oui. jaloux de la voir avec un autre homme. encore plus jaloux de la voir en présence de soul et cosme. même s'ils ne font que discuter, t'avais ce désir de l'avoir rien que pour toi. et tu ne pouvais pas contrôler tout ça, c'était bien plus fort que toi. je ne te l’interdis pas iago, je te faisais une confidence. tu t'emportes un peu. parce que la discussion te dérange. alors t'as le ton de ta voix qui monte un peu alors que tu te demandes ce que ça peut bien lui faire à elle tout ça. ça ne change rien pour moi mais comme ça on est au même niveau d’informations. elle souffle et elle t'attire déjà contre elle. occasion pour toi de ne rien dire de plus. t'aimes pas parlé, ce n'est pas aujourd'hui que ça changera. ce n'est pas elle qui te changera. ou peut-être bien que oui justement. tu ne veux pas trop y penser, tu t'approches d'elle, ton visage presque contre le sien lorsqu'elle te lance, embrasse moi. ses doigts qui viennent se balader, son regard planté dans le tien alors qu'elle rajoute, je préfère le iago hors de contrôle que celui qui répond à mes questions. tu n'attendais pas plus longtemps pour t'emparer de ses lèvres. t'étais plus que d'accord avec elle. t'aimais pas répondre à ses questions. t'aimais répondre à aucune question. pas du genre à te dévoiler, c'était comme ça. tu préfères les actions. et là tu t'en donnais à coeur joie alors qu'une main passait gentiment dans ses cheveux et que tes lèvres se pressaient encore un peu plus sur les siennes.

» the bitch is back (nova)
» sister morphine (nova)

lonely night (nova)

lonely night (nova)

Sujets similaires

Sujets similaires