saltimbanques et artistes en tout genre sont ici prêts à vous faire voyager sans avoir besoin de quitter la ville. fête foraine permanente, au bord du fleuve, elle accueille les attractions de tout genre et vous fera régresser de quelques années. la barbe-à-papa, les bonbons et la musique vous entraîneront dans un univers coloré qui vous fera oublier vos soucis, juste un instant.

temple des vices, lieu de débauche. boite de nuit élitiste et sélective où l'argent et les excès sont rois. nommée ainsi en hommage à l'année de naissance de son illustre propriétaire; le très controversé stanislas castel. le club est situé dans le centre névralgique de trois-rivières mais à l’abri des regards indiscrets -savamment dissimulé derrière une épaisse porte rouge. parfois, le club se transforme en un cercle de jeux clandestin où tous les coups sont permis. celui-ci accueille une clientèle variée mais peu scrupuleuse : jeunesse élitiste, familles fondatrices en quête de divertissements, les parrains de la pègre locale. ils désirent tous la même chose : les filles qui ondulent lascivement, l’adrénaline du jeu, l’argent à profusion et le champagne importé de france. ici, il n’y a pas règles, pas de lois, pour une unique raison : officiellement cet endroit n’existe pas. il n’apparait sur aucune carte, aucun guide, il est réservé à une poignée d’amateurs, à la crème de la crème.

racheté par mandy landry, le pussycat est un bar vieux comme le monde. dans un quartier mal fréquenté, dans une ruelle sombre et glauque. il est en rénovation, pour l'heure, et promet de s'ouvrir très rapidement. sa fréquentation ne changera pas, pour sûr. et les femmes qui entrent ici ne sont que celles qui y travaillent. un bar pour hommes, donc, ou prédateurs, peu importe. un bar mal famé dans un quartier mal famé.